Yesterday, Oberon member Susan Nenadic reported this encounter in Ann Arbor:
A woman who had taken my Shakespeare Authorship Controversy class came to the program I presented today and handed me a note indicating that the Petit Larousse from a 1965 biographical entry of Shakespeare calls into doubt the authorship by Stratford Will. I Wonder how many other foreign language sources do the same thing.
Oberon member Rey Perez followed up with this information from the 2001 edition of Larouse:
The online Larousse dictionary of literature, 2001 edition, in the entry “Shakespeare (William)” from its first sentence begins by expressing doubts about the traditional authorship, then continues with the bare facts about Shakespeare from Stratford. The key sentence is the second, that some have seen in him a pseudonym for others, such as Oxford. The French seem way ahead of the rest of us.
Rey provided this link to the dictionary item on William Shakespeare:
http://www.larousse.fr/ archives/litterature/page/ 1105#t176991. The entry begins, as Rey said:
Shakespeare (William)
. . . Poète dramatique anglais (Stratford on Avon 1564 – id. 1616).
Si la nature finit toujours par ressembler à l'art, on attend souvent d'une vie qu'elle soit l'image anticipée d'une œuvre, surtout quand cette œuvre a l'ampleur et la diversité de la vie. On comprend alors que nombre des contemporains de Shakespeare – et une notable partie de leur postérité –, déçus par la platitude de sa biographie face au foisonnement de son théâtre, aient été tentés de lui dénier l'existence pour n'en faire que le prête-nom de personnages illustres et cultivés, comme Christopher Marlowe, Francis Bacon ou le comte d'Oxford. Il est vrai que l'on possède peu de renseignements précis sur sa vie et qu'il est difficile de les démêler d'avec les enjolivures de la légende. On peut dire cependant qu'il était fils d'un notable prospère qui se ruina assez vite, et qu'il épousa à 18 ans une femme, Anne Hathaway, de 8 ans son aînée. S'il n'est pas certain qu'il approcha d'abord le théâtre en tenant par la bride les chevaux des spectateurs, il est, pour les premiers documents d'archives (1594), acteur et actionnaire de la troupe du Lord Chambellan : la scène est d'abord pour lui une bonne affaire (en 1596, il a refait la fortune familiale et obtenu l'anoblissement de son père), et, en 1598, il s'installe dans le nouveau théâtre du Globe. On peut chercher ailleurs le secret de sa vie, dans ses poèmes (Vénus et Adonis, 1593 ; le Viol de Lucrèce, 1594) ou dans ses 154 sonnets, publiés en 1609 : on y lit, plus ou moins clairement, le trouble, la frustration, l'homosexualité, le masochisme. Et il meurt, dit-on, des suites d'un banquet avec Ben Jonson. . . .
We don't have access to the 1965 edition to confirm the report, but would welcome a photo if anyone out there has a copy.
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